Eolien offshore : 3 consortiums ont déposé 10 candidatures
Pour que l'énergie éolienne en mer contribuent à produire 3,5 % de la consommation d'électricité française, soit l'alimentation de plus de 4,5 millions de foyers, cela implique la construction d'une capacité éolienne offshore de 6 GW à l'horizon 2020, soit environ 1.200 éoliennes.
Le premier appel d’offres portant sur des installations éoliennes de production d’électricité en mer en France métropolitaine doit permettre d’ériger 500 à 600 éoliennes au large des côtes françaises, pour une production de 3 GW. Il comprend la construction et l’exploitation de 5 parcs éoliens de production d’électricité implantées en mer.
Les candidats avaient jusqu'au 11 janvier 2012 - 14h, pour transmettre leurs dossiers à la Commission de Régulation de l'Energie (CRE).
Trois consortium menés par les producteurs d'énergie français EDF et GDF Suez et leur concurrent espagnol Iberdrola, ont déposé 10 candidatures dans les temps.
Le groupement dirigé par EDF (en partenariat avec Alstom) est candidat pour 4 sites. GDF Suez (en partenariat avec Areva) est partant pour 3 sites, ainsi que pour un autre site en coopération avec l'allemand Siemens. Pour terminer, le consortium Iberdrola vise lui deux sites.
Zoom sur les 5 zones retenues par le gouvernement et les objectifs de puissance :
Le Tréport (Seine-Maritme-Somme) – 110km2 : puissance maximale 750 MW, puissance minimale 600 MW ;
Fécamp (Seine-Maritime) – 88 km2 : puissance maximale 500 MW, puissance minimale 480 MW ;
Courseulles-sur-mer (Calvados) – 77 km2 : puissance maximale 500 MW, puissance minimale 420 MW ;
Saint-Brieuc (Côtes d’Armor) – 180 km2 : puissance maximale 500 MW, puissance minimale 480 MW ;
Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) – 78 km2 : puissance maximale 750 MW, puissance minimale 420 MW.
Pour que l'énergie éolienne en mer contribuent à produire 3,5 % de la consommation d'électricité française, soit l'alimentation de plus de 4,5 millions de foyers, cela implique la construction d'une capacité éolienne offshore de 6 GW à l'horizon 2020, soit environ 1.200 éoliennes.
Le premier appel d’offres portant sur des installations éoliennes de production d’électricité en mer en France métropolitaine doit permettre d’ériger 500 à 600 éoliennes au large des côtes françaises, pour une production de 3 GW. Il comprend la construction et l’exploitation de 5 parcs éoliens de production d’électricité implantées en mer.
Les candidats avaient jusqu'au 11 janvier 2012 - 14h, pour transmettre leurs dossiers à la Commission de Régulation de l'Energie (CRE).
Trois consortium menés par les producteurs d'énergie français EDF et GDF Suez et leur concurrent espagnol Iberdrola, ont déposé 10 candidatures dans les temps.
Le groupement dirigé par EDF (en partenariat avec Alstom) est candidat pour 4 sites. GDF Suez (en partenariat avec Areva) est partant pour 3 sites, ainsi que pour un autre site en coopération avec l'allemand Siemens. Pour terminer, le consortium Iberdrola vise lui deux sites.
Zoom sur les 5 zones retenues par le gouvernement et les objectifs de puissance :
Le Tréport (Seine-Maritme-Somme) – 110km2 : puissance maximale 750 MW, puissance minimale 600 MW ;
Fécamp (Seine-Maritime) – 88 km2 : puissance maximale 500 MW, puissance minimale 480 MW ;
Courseulles-sur-mer (Calvados) – 77 km2 : puissance maximale 500 MW, puissance minimale 420 MW ;
Saint-Brieuc (Côtes d’Armor) – 180 km2 : puissance maximale 500 MW, puissance minimale 480 MW ;
Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) – 78 km2 : puissance maximale 750 MW, puissance minimale 420 MW.